Entretien avec Dominique Wolf, directrice du Service commun de la documentation (SCD) depuis septembre 2012.
Comment définissez-vous le Service commun de la documentation de l’Université de Strasbourg aujourd’hui ?
Le SCD est un réseau documentaire de 32 bibliothèques intégrées couvrant l’ensemble des domaines disciplinaires de l’Université de Strasbourg. À ces 32 bibliothèques gérées par 160 personnes et environ 60 moniteurs étudiants, s’ajoutent des bibliothèques associées au SCD. Si une bibliothèque n’est pas intégrée (budget et postes gérés par le SCD), elle est forcément associée et donc administrée par une composante, comme par exemple celles de mathématique ou de théologie.
Une des particularités de Strasbourg est la présence, dans une même ville, de deux gros services documentaires universitaires : le SCD et la Bibliothèque nationale et universitaire (BNU). En résulte pour la communauté universitaire une offre documentaire riche, voire extraordinaire, bien au-dessus des standards français. En outre, le SCD est idéalement situé dans le réseau transfrontalier.
Quels sont les points forts et les faiblesses du SCD ?
L’offre en ressources électroniques est une vraie plus-value du SCD. Particulièrement abondante et diversifiée, c’est l’une des plus importantes de France. Autre point fort : le SCD de Strasbourg a été précurseur en matière d’ouverture élargie de bibliothèques. Il compte désormais, depuis octobre 2012, non plus trois mais quatre bibliothèques labellisées NoctamBU*: les bibliothèques Blaise-Pascal, du Pôle européen de gestion et d'économie, de médecine et odontologie et U2-U3. Le développement des formations à la méthodologie documentaire est un autre atout du SCD. Enfin, le grand nombre de bibliothèques et l’implication forte des personnels permettent au SCD d’entretenir une grande proximité avec ses usagers, pour une meilleure prise en compte de leurs besoins.
Nos faiblesses découlent de nos forces, mais également des contraintes budgétaires actuelles. Cette année, nous avons dû diminuer les acquisitions de livres et de revues imprimés… Nous n’en sommes pas fiers ! La documentation imprimée pâtit en effet de la toujours plus coûteuse documentation électronique. En outre, les désabonnements opérés par le SCD sous la contrainte budgétaire pourraient amener certaines composantes à se réabonner pour leur propre compte… L’enjeu pour les années à venir serait donc double : stabiliser le budget de la documentation électronique afin de rééquilibrer les dépenses entre documentation pour la recherche et documentation pour les étudiants d’une part, et éviter l’éparpillement des moyens documentaires de l’université d’autre part.
Justement, quels sont les projets du SCD ?
La collaboration documentaire régionale est en enjeu fort pour le SCD. Un volet documentaire entre la BNU, le SCD et l’Université de Haute-Alsace (UHA) était déjà annexé au précédent contrat quadriennal. L’étape 2 de ce partenariat sera constituée, pour le nouveau contrat quinquennal, d’une politique de site commune au SCD de l’Université de Strasbourg, au SCD de l’UHA, à la bibliothèque de l’Insa et à la BNU. Actuellement, nous travaillons ensemble sur un schéma directeur de la documentation universitaire en Alsace.
Un des autres challenges sera de créer, en interne, une véritable dynamique commune, et faire en sorte que le Service commun de la documentation ne soit plus la juxtaposition des quatre ex-SCD (trois universités + IUFM). En 2013, le service reste encore très marqué par l’histoire et les évolutions institutionnelles, au premier rang desquelles se situe la fusion de 2009. D’ailleurs, quatre logiciels de gestion des bibliothèques sont encore utilisés. Soutenu par l’université et un financement Idex, un projet de logiciel unique devrait aboutir en 2014-2015. C’est un projet très structurant pour les équipes et porteur de modernisation en termes de services aux publics.
Enfin, les autres projets concernent les rénovations et constructions, comme celle du bâtiment Paps-PCPI que les bibliothèques de l’IEP et de l’IHEE rejoindront en septembre 2015 ; l’extension, à Illkirch, de la bibliothèque de pharmacie pour accueillir la bibliothèque de l’IUT Robert-Schuman sur un deuxième étage (réouverture prévue à l’automne 2014) ; et, surtout, la très attendue destruction de la bibliothèque universitaire (BU) Blaise-Pascal pour y construire à sa place, dans le cadre de l’Opération campus, une Maison de l’étudiant-Learning Center. Cette BU ne pourra pas être reconstruite sur le même modèle : elle regroupera plusieurs bibliothèques existantes et offrira de nouveaux services. Aussi, j’aimerais profiter de ce projet pour mener une réflexion sur l’organisation du travail.
Dans votre expérience/projet/parcours professionnel, qu’est-ce que cela a changé d’être une femme ?
« Travailler dans un environnement masculin ne me déplaît pas mais j’aime autant quand mon entourage professionnel est mixte : c’est un équilibre. Je ne me sens pas bridée parce que je suis une femme ; je ne l’ai jamais ressenti comme un frein. Globalement, le milieu des bibliothèques est d’ailleurs un milieu très féminin. »
* NoctamBU est un label lancé en 2010 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il est attribué aux bibliothèques universitaires qui ouvrent plus de 65 heures par semaine.
Un vice-président délégué « dédié », une équipe opérationnelle étoffée, des compétences nouvelles à assumer : la mission « investissements d’avenir » de l’Université de Strasbourg se restructure après le départ en retraite de Guy-René Perrin qui l’a dirigée depuis 2010. Avec un objectif de taille : obtenir la pérennisation du label IdEx pour l’université après 2015.
C’est désormais Serge Potier qui portera politiquement cette mission des investissements d’avenir (IA). Professeur de génétique, il a le statut de vice-président délégué, directement rattaché au président Beretz. La mission a été créée en 2010 pour coordonner et mettre en œuvre les projets labellisés dans le cadre des investissements d’avenir : laboratoires d’excellence, équipements d’excellence, instituts hospitalo-universitaires… et pour finir, l’IdEx (initiative d’excellence). Une mission accomplie, au vu des résultats obtenus !
« La phase des grands appels d’offre est pour l’instant terminée, explique Olivier Guyot, directeur exécutif de la mission IA. Nos missions se recentrent donc aujourd’hui autour du suivi et de la mise en œuvre des LabEx, mais surtout de l’IdEx». L’IdEx, très concrètement, c’est un capital de 750 millions d’euros bloqué par l’État sur un compte. Les revenus générés par ce placement, 25 millions d’euros par an, sont versés à l’Université de Strasbourg. « Évidemment, cet argent doit financer des projets qui entrent dans les objectifs de l’IdEx, précise-t-il : recherche d’excellence, formation d’excellence, développement économique lié à la recherche, actions socioculturelles, pilotage de l’université. »
Un enjeu stratégique pour l’université
L’équipe, qui compte désormais quatre personnes, s’est donc structurée autour de ces missions. Olivier Guyot, outre ses fonctions de directeur exécutif, prend en charge les volets recherche et développement économique ; Coralie Bajas-Schaefer s’occupe des projets de formation ou liés à l’action socioculturelle ; Julien Weber de l’ingénierie des projets administratifs et financiers, des nouveaux projets organisationnels qui pourront être financés dans le cadre de l’IdEx. L’équipe est complétée par Alice Ullmann, responsable administrative (logistique, gestion des conventions, organisation des comités de pilotages…) et également chargée de communication de la mission IA. Elle est souvent le premier interlocuteur des chercheurs, et des partenaires de l’université.
Tout comme pour les LabEx et les ÉquipEx, l’Agence nationale de la recherche demandera des comptes sur l’utilisation des fonds octroyés. Une évaluation est prévue en 2015. Si les résultats sont probants, l’Unistra obtiendra la poursuite du versement annuel des 25 millions d’euros, mais aussi la gestion directe du capital initial de 750 millions d’euros. S’ils sont mitigés, l’université devra se soumettre à une nouvelle période probatoire. S’ils sont jugés insuffisants, elle perdra son label d’Initiative d’Excellence et les fonds correspondants. Autant dire que l’enjeu est d’envergure !
Appels à projets innovants en recherche et en formation
« L’argent de l’IdEx est engagé sur des appels à projets internes en recherche ou en formation. Les processus de décision ont été formalisés afin de les rendre transparents. Le comité de pilotage de l’IdEx examine des projets qui sont ensuite soumis au Cévu1 ou au CS2, puis finalement officiellement adoptés au conseil d’administration », explique Olivier Guyot. Si la démarche est courante concernant la recherche, ce système d’appels à projets est plus inédit concernant la formation. « L’idée est de faire émerger ou de soutenir des formations qui répondent aux critères de l’IdEx : interdisciplinarité, lien avec la recherche, dimension internationale et prise en compte de l’insertion professionnelle des diplômés ».
Caroline Laplane
1 Conseil des études et de la vie universitaire
2 Conseil scientifique
Les tentatives de hameçonnage (ou phishing) sont nombreuses dans vos boîtes aux lettres. Quelques conseils pour ne pas vous faire attraper comme un poisson.
Ces tentatives visent à récupérer votre identifiant et votre mot de passe pour accéder à vos données à la banque, dans vos services sociaux ou professionnels. Sachez qu'il ne faut jamais répondre à ce type de message car la Direction informatique (comme tous les services informatiques en général) ne vous demandera jamais de telles informations. Votre mot de passe est personnel, il doit rester totalement confidentiel et ne doit être transmis à personne, sous aucun prétexte.
Si vous répondez, le risque est que des escrocs utilisent votre compte pour des fraudes en ligne ou encore l'envoi de spam massif via votre boîte électronique. Votre responsabilité serait alors engagée. La vigilance est de rigueur car les techniques s'améliorent. Si autrefois les messages des escrocs étaient maladroits, les messages sont désormais le plus souvent bien rédigés.
Les bons réflexes à avoir quand un message inconnu vous demande votre identifiant et votre mot de passe sont de ne surtout pas répondre ; de bien vérifier l'adresse de la page vers laquelle le message renvoie (les serveurs de l'université ont une adresse comportant les termes unistra.fr ou u-strasbg.fr) et enfin de jeter le message à la corbeille.
Véronique Brunstein, cadre hospitalier au CHU de Strasbourg, et Nastaran Navaei, étudiante iranienne, ont toutes deux choisi la validation des acquis professionnels et personnels (VAPP), l’une en formation continue et l’autre en formation initiale. Elles témoignent de leur expérience à l’Université de Strasbourg.
À 49 ans et à 34 ans, Véronique Brunstein et Nastaran Navaei ont un point commun : elles sont passées par la Validation des acquis professionnels et personnels soit une validation des études, des expériences professionnelles et des acquis personnels en vue d’accéder aux différents niveaux de l’enseignement supérieur. Mais, pour chacune d’elles, le cadre et l’objectif étaient différents.
Responsable du centre d’enseignement des soins d’urgence au CHU de Strasbourg, Véronique Brunstein a réalisé un VAPP dans le cadre de la formation continue pour reprendre ses études. Elle a ainsi intégré le master 2 Ingénierie de la formation et des compétences au sein de la Faculté des sciences de l’éducation à la rentrée 2012. « Diplômée d’une école d’infirmières, j’ai évolué dans ma carrière grâce à diverses formations professionnelles mais aucune d’elles n’étaient diplômantes dans l’enseignement supérieur alors que dans un avenir proche, les cadres formateurs devront justifier d’un niveau master, c’est pour ça que je me suis lancée », explique Véronique Brunstein.
Un investissement personnel important
Après avoir validé son premier semestre, elle suit actuellement deux jours de cours par mois sur son temps de travail et doit rendre son mémoire avant le 14 juillet. « Cela demande un investissement personnel important et nécessite une bonne organisation ; il faut être motivé car c’est difficile de concilier travail et formation », confie Véronique Brunstein. Pourtant, elle s’avoue très satisfaite de ce dispositif : « La formation en présentiel permet de nombreux échanges ; grâce à la VAPP, des personnes de parcours différents non universitaires peuvent accéder à l’université. »
Nastaran Navaei, étudiante d’origine iranienne, se réjouit aussi de sa VAPP réalisée, dans son cas, dans le cadre de la formation initiale entre 2008 et 2009. Le dispositif lui a permis de valider ses diplômes obtenus en Iran – une licence et un master en littérature française – pour poursuivre ses études en master 2 Littératures française, générale et comparée à la Faculté de lettres de l’Unistra, sans passer par le premier cycle. « Je suis arrivée à Strasbourg en décembre 2008 à cause d’un problème de visa, le premier semestre était déjà presque terminé mais j’ai pu avoir mon master au rattrapage », explique-t-elle. Avide de connaissances, elle a poursuivi avec une licence en sciences du langage et une maîtrise de linguistique et informatique. Aujourd’hui, elle est en troisième année de thèse et souhaite poursuivre dans la recherche en littérature.
Floriane Andrey
Dans votre expérience/projet/parcours, qu'est-ce que cela a changé d'être une femme ?
Véronique Brunstein : « Issue d’un métier à prédominance féminine - je suis infirmière à l’origine - être une femme n’a rien changé dans mon parcours professionnel. Le seul changement que je note c’est au moment de faire des études. En étant une femme, il vaut mieux attendre que les enfants grandissent surtout pour reprendre une formation universitaire qui demande beaucoup de réflexion. Il faut aussi négocier avec son conjoint pour qu’il s’investisse plus dans l’organisation familiale. »
Nastaran Navaei : « En Iran, les femmes rencontrent beaucoup de problèmes pour suivre des études et faire le métier qu’elles aiment. Avant le mariage, c’est le père qui décide pour sa fille. Mais heureusement, mon père n’était pas comme ça. Il m’a beaucoup soutenue et encouragée à venir en France. Dans mes études à l’Université de Strasbourg, je me sens bien, je n’ai pas de problème mais c’est peut-être parce que j’évolue dans la littérature romanesque du 19e siècle, sujet qui intéresse davantage les femmes… »
L’Établissement français du sang (EFS) - Alsace sera présent pour une collecte de sang au Centre sportif universitaire lundi 11 et jeudi 21 mars de 10 h à 16 h.
Pour beaucoup d’entre vous, ce sera l’occasion de réaliser votre premier don de sang. Afin de donner à cette expérience toutes les chances d’être réussie, il est important d’avoir toutes les informations essentielles concernant ce geste qui sauve.
Chaque don est précédé d’un entretien médical confidentiel, assurant la sécurité du donneur et celle du receveur de produits sanguins. Au-delà de la sécurité apportée par les analyses réalisées sur tous les dons, il est indispensable d’apporter des réponses fiables et sincères aux questions qui vous seront posées afin d’éviter tout risque pour vous-même et pour le malade transfusé. Afin de préparer cette étape essentielle, et de vous éviter un déplacement éventuellement inutile le cas échéant, vous pouvez consulter le site internet de l'EFS-Alsace, rubrique « don du sang », pour connaître les principales causes de contre-indication au don. Vous pouvez aussi y télécharger le questionnaire médical, que vous pourrez alors remplir à l’avance.
En cas de doute ou de question, n’hésitez pas à contacter l'EFS par téléphone (03 88 21 25 03) ou par courriel.
Le Service des sports de l’Université de Strasbourg organise la quatrième édition de la Nuit du handball mercredi 13 mars et la Nuit du volley jeudi 21 mars.
La Nuit du handball se déroulera à la Halle des sports, au gymnase Louvois et au gymnase de l’Ecole internationale (Campus de l’Esplanade) mercredi 13 mars à partir de 18 h 30 tandis que la Nuit du volley se tiendra à la Halle des sports et au Centre sportif universitaire jeudi 21 mars à partir de 18 h. Ces deux tournois sont ouverts aussi bien aux étudiants de l'Université de Strasbourg qu'à son personnel à jour de leur cotisation sport.
Les deux événements mettront les filles à l'honneur. Dans les équipes de handball, constituées de cinq à dix joueurs maximum qui s’affronteront toute la nuit, il devra y avoir au minimum une fille sur le terrain durant toute la soirée. Les équipes de volleyeurs, mixtes ou non, seront tout de même récompensées avec trois points de bonus pour la présence d'une fille sur le terrain durant tout le match.
De nombreuses surprises sont réservées aux participants de la Nuit du handball tout au long de la soirée comme la possibilité de tirer des penalties sur un gardien de niveau national. Par ailleurs, les équipes pourront se déguiser pour finir le tournoi. L’innovation et l’aspect créatif des participants seront récompensés à la fin de cette nuit.
Le Suaps organise un événement zumba, avec un partenaire extérieur, samedi 16 et dimanche 17 mars 2013 à la Halle des sports.
Au programme de ce week-end, Zumba night samedi 16 mars de 20 h à 23 h et Zumba party dimanche 17 mars de 10 h à 12 h. Cet événement est ouvert à tous mais un tarif préférentiel est proposé aux personnes qui ont réglé le droit sport soit 6 euros pour la Zumba Night et 4 euros pour la Zumba Party.
Pour les personnes extérieures, les préventes se font par courriel auprès de Didier Lutz. Il y aura possibilité de s'inscrire sur place, mais aucun tarif préférentiel ne sera appliqué (samedi : 20 euros et dimanche : 15 euros).
Le séminaire Prospective et développement intitulé « L’innovation, un défi permanent pour l’université » s'est déroulé jeudi 14 février.
Après une introduction par le président Beretz, Pierre-Alain Muller, vice-président Innovation de l’Université de Haute-Alsace, a axé son exposé sur le rôle de l’université auprès des étudiants dans le processus d’innovation. Comment génère-t-on de la valeur à l’université ? Si les dispositifs favorisant l’innovation foisonnent en Alsace, il est primordial que les jeunes étudiants s’imprègnent des modèles économiques et soient simulés et entraînés à participer à un projet d’entreprise générateur de valeur.
En seconde partie, Luc Soler, directeur de projet de recherches à l’Ircad, a présenté le modèle de la chirurgie mini-invasive. L’innovation est avant tout un état d’esprit, rappelle-t-il, un phénomène qui modifie les usages. Il questionne le processus d’innovation à travers l’exemple de l’Ircad, qui forme des praticiens du monde entier à des méthodes innovantes de chirurgie.
Enfin, Pierre Litzler, doyen de l'UFR des arts, a choisi d’interroger créativité et innovation par le prisme des réalisations des étudiants de son master design. L’enjeu créatif peut se révéler à tout moment, il faut être capable de maîtriser toutes les étapes de la conception, de concevoir toute la complexité d’un processus de création.
Dans le cadre de la Semaine de l’industrie, l’IUT Louis-Pasteur organise une journée sur le thème « Maintenance et innovation » tandis que l’IUT Robert-Schuman se penche sur la transition énergétique.
Le pôle Maintenance* de l’IUT Louis-Pasteur de Schiltigheim, en collaboration avec l'Association française des ingénieurs et responsables de maintenance, organisent, jeudi 21 mars 2013 à partir de 9 h, une journée sur le thème « Maintenance & Innovation » dans le cadre d'Innova-Maintenance®. Cette manifestation sera retransmise en direct sur le web.
Le Conservatoire national des arts et métiers Alsace et l’IUT Robert-Schuman invitent l’association négaWatt à présenter son «scénario négaWatt » en vue d’assurer la transition énergétique vers des solutions durables lundi 18 mars à 18 h à l'IUT Robert-Schuman.
L’École de management (EM) de Strasbourg lance, à la rentrée 2013, le diplôme d’université Management de l’officine en partenariat avec la Faculté de pharmacie de Strasbourg et le Conseil régional de l’Ordre des pharmaciens d’Alsace.
Alternative aux masters spécialisés, ce diplôme d'université s’adresse aux jeunes diplômés en pharmacie ou ayant moins de trois ans d’expérience professionnelle. L'objectif est de valoriser une double compétence et faire face aux mutations du secteur (concurrence accrue, vente libre sur internet, développement de nouvelles activités, déremboursement de médicaments, exigences croissantes du consommateur) par l’acquisition d’outils adaptés. La formation sera dispensée à temps partiel, au rythme de trois jours par quinzaine sur trois mois et les enseignements pourront être menés en alternance soit avec un stage, soit avec l’activité professionnelle.
03/2013 | 04/2013 | 05/2013 | 06/2013 | |
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<strong>Conseil d'administration - CA</strong> 14h30 - Mardi | 26 | 30 | 21 | 25 |
<strong>Conseil des études et de la vie universitaire - Cévu</strong> 14h - Lundi | 11 | 8 - 29 | / | 17 |
<strong>Conseil scientifique - CS</strong> 14h30 - Mercredi | 13 | 10 | 15 | 26 |
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong> 14h30 - Mardi | / | 2 | 14 | 18 |
Les femmes à l'Université de Strasbourg au 1er janvier 2011
• 38,9% des enseignants
• 64,7% des personnels Biatss
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